Maestra
En 2 mots
Judith, une mangeuse d’hommes experte sur le marché de l’art va réussir un coup très lucratif pour ses débuts en tant qu’indépendante. Sexe, art et cadavres à la pelle sont les ingrédients de ce thriller bien construit, mais à réserver à un public averti.
Ma note
(j’ai adoré)
Si vous voulez en savoir plus…
Ma chronique complète publiée lors de la parution du roman en grand format
L’avis de… Glenn Tavennec (Robert Laffont)
« Cette thématique de la femme fatale, criminelle sans être psychopathe, indépendante sans être féministe, m’a emballé. Tout comme cette façon de tordre les codes du roman noir, de dénoncer le monde des ultra-riches et la grosse machine de blanchiment d’argent qu’est le milieu de l’art. »
Vidéo
A l’occasion du festival Quai du Polar à Lyon, L. S. Hilton présente «Maestra». Traduit de l’anglais (Royaume-Uni) par Laure Manceau. © Production Librairie Mollat